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CESI s’engage une fois de plus en faveur de la mixité dans les filières technologiques et scientifiques, avec l’association Elles Bougent. Lors de la journée nationale « Elles bougent pour l’orientation »,  les étudiantes ingénieures CESI sont allées à la rencontre des lycéennes.

La journée Elles Bougent pour l’Orientation

L’association Elles Bougent a reconduit pour la troisième année consécutive son événement « Elles Bougent pour l’orientation », qui s’est tenu le jeudi 7 décembre 2023 dans tous les établissements scolaires en France.

Les objectifs de l’événement

L’objectif de cette journée est de promouvoir l’ingénierie et les métiers techniques auprès des jeunes filles de France métropolitaine et outre-mer et à l’international dans les collèges et lycées :

  • Sensibiliser les jeunes collégiennes et lycéennes sur les carrières scientifiques et technologiques, au travers des témoignages d’ingénieures, techniciennes et élèves ingénieures.
  • Informer sur la variété des métiers et des parcours de formation menant aux emplois d’ingénieure.
  • Susciter des vocations pour des métiers d’avenir dans l’industrie.
  • Donner de l’ambition dans leur parcours professionnel.

Les étudiantes ingénieures CESI mobilisées

Cette année encore, plusieurs étudiantes ingénieures BTP du campus de Montpellier se sont mobilisées pour aller à la rencontre des lycéennes et leur parler de leur formation/métier.

Andréa Robert, étudiante en 3ème année du cursus ingénieur BTP, est intervenue au lycée Dhuoda à Nîmes, accompagnée de son Enseignante Responsable Pédagogique, Audrey du Plessis. Une trentaine de lycéennes ont assisté à leur présentation et ont pu poser toutes leurs questions sur la place de la femme dans le milieu du BTP.

Le Midi Libre a suivi André et Audrey tout au long de la journée.


Anaïs Mercier, elle aussi étudiante ingénieure, en alternance chez DARVER, a participé à l’événement. Elle est intervenue au lycée Champollion à Lattes, où elle a pu témoigner et faire son retour d’expérience sur son métier de Conductrice de travaux aux 30 lycéennes présentes.

France 3 Languedoc-Roussillon a suivi et interviewé Anaïs, découvrez le reportage, à partir de 17’30.


Maxine Kruzyk, étudiante en 4ème année BTP, est quant à elle intervenue dans deux établissements différents : le lycée Georges Clémenceau à Montpellier, et le collège Paul Bert à Capestang, pour aborder le sujet de l’évolution des perspectives des femmes dans le domaine de l’ingénierie.

Elle a pu être accompagnée par Tahiana Rakoto, étudiante en 3ème année BTP, et Sara Bouteraa, Enseignante Responsable Pédagogique sur le campus de Montpellier. Cette dernière nous livre son retour d’expérience sur cette journée :

Nous avons échangé avec les étudiantes et partagé des réflexions similaires sur l’évolution des mentalités par rapport aux choix de carrière.

De plus, j’ai pu discuter avec d’autres étudiantes CESI, notamment Anaïs, Andréa et Tahiana. Nos échanges ont révélé des points de vue divers sur la perception actuelle des femmes ingénieures.

Ce qui ressort de nos discussions, c’est la dynamique changeante des aspirations professionnelles.

Nous avons constaté un changement significatif dans la perception du métier d’ingénieur, notamment chez les femmes, avec une préférence marquée pour des postes impliquant un travail sur le terrain.

Les élèves en terminale se sont montrées particulièrement intéressés par les perspectives et les opportunités offertes par ce domaine.

C’était une excellente occasion de discuter avec elles , d’échanger sur nos expériences et de répondre à leurs questions. Leur intérêt pour ce métier était tangible et cela témoigne d’une réelle curiosité chez les futurs étudiants pour les carrières liées à l’ingénierie.


Merci à toutes pour votre implication !

Pour en savoir plus sur l’édition 2022, CLIQUEZ ICI.

L’association Elles Bougent

La principale ambition d’Elles Bougent est de renforcer la mixité dans les entreprises des secteurs industriels et technologiques. Les femmes y représentent encore un faible pourcentage des effectifs, surtout sur les postes techniques, et les entreprises les voudraient plus nombreuses à choisir de travailler dans leurs domaines.

Le but est d’encourager un plus grand nombre de jeunes filles à devenir ingénieures dans les transports, l’énergie, la chimie, la robotique, la défense, le spatial, le numérique, le bâtiment et l’agroalimentaire.